La Suisse, une bonne école

EditoNotre pays est propre, ordonné, bien organisé, d’un climat parfois dur, avec peu de ressources naturelles et pourvu d’un sens patriote sans faille.

La ténacité et l’endurance du peuple fait exemple dans le monde entier. Le pays est un état laïque, bien que notre Constitution commence par « Au nom de Dieu tout-puissant». On pourrait interpréter que la pertinence de ce texte forge les esprits des individus en respectant toute croyance religieuse.
A l’armée, la doctrine se concrétise par le système de milice, même pour la plupart de ses officiers, toutefois vu la technologie complexe de certaines armes le nombre de professionnels a quelque peu augmenté dernièrement.
Particulièrement dans la ville de Genève, la Suisse abrite les sièges des plus grandes institutions internationales lesquelles sont représentatives pour l’équilibre du reste de l’humanité. Pour n’en nommer que quelques-unes on trouve le CICR (Comité international de la Croix-Rouge), fondé à Genève en 1863, l’OMS (Organisation Mondial de la santé) créé en 1948, le HCR (Haut Commissariat pour les Réfugiés) fondé en 1949.
En parlant du corps dirigeant du pays, les politiciens, chaque parti brille par ses convictions bien sûr mais, en général tous ont avant tout à l’esprit les intérêts du peuple et laissent de côté leurs intérêts personnels. Les membres du Parlement fédéral ne renoncent pas non plus à leurs anciennes charges professionnelles quand ils prennent leurs fonctions, ils cumulent.
Comment peut on si bien fonctionner dans un monde de plus en plus chaotique ? C’est la grande question que se posent bon nombre de personnes à l’étranger.

Notre pays a passé des moments de l’histoire dramatiques, guerres civiles, guerre des religions, dépression économique, tout portait à un éclatement de son entité, et pourtant… Etant composé de quatre groupes linguistiques, dont chacun s’identifie à une culture différente, une forte cohésion règne chez nous.

L’adversité climatique de la plupart des nos régions a forgé un peuple combattant, prévoyant et courageux.  D’un côté, les hommes ont du développer pleins d’idées pour subvenir aux besoins des leurs. De l’autre, les femmes des bonnes administratrices, se chargeaient de l’éducation de la famille.

De nos jours, l’Helvétie peut offrir à son peuple du bien-être grâce aux sacrifices et à la ténacité qui se perpétue dans le travail de chaque auteur du pays. Mais le secret de la Confédération est la transmission, de génération en génération, de notre esprit, riche du bagage du passé, qui reste toujours en éveil et conscient que rien est n’acquis à jamais, que le futur se forge jour après jour et que le bien-être de chaque individu dépend de la communauté entière. Tout commence dans la première école à laquelle tout le monde a droit et passe, notre foyer.

V.vA

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