DECOUVREZ NOTRE NOUVELLE CHRONIQUE
Il est toujours délicat d’introduire une nouvelle chronique. Mais la littérature mérite une idée innovante pour réveiller les passionnés et retrouvez le bonheur de lire.
Photo : Sandra Hildebrandt
La littérature. Ce nom féminin effraie. Parce qu’il évoque notamment les lectures obligatoires du lycée ou encore de l’université. Là où plus d’un a souffert des analyses de texte.
Les leçons de français devenaient alors très vite un problème. En effet, l’enseignant ne parvenait pas toujours à partager la passion du mot avec ses élèves et les éloignaient parfois même de ce miroir de la société qu’est le livre. Même si des irréductibles lecteurs parsèment nos villes, nos campagnes pour défendre les lettres avec passion.
Pour combler les manquements scolaires et les frustrations littéraires, nous inaugurons une nouvelle chronique : le livre du quotidien. La littérature se trouve dès lors quotidiennement autour de nous. Nous racontons continuellement des histoires. Nos histoires personnelles ou celle des autres.
Quand nous discutons avec un ami, un collègue ou un inconnu, l’échange est toujours marqué par des paroles. Dans les paroles se trouvent nos émotions construites au fil des années. Le quotidien touche.
Un scène banale peut ainsi déboucher sur une réflexion profonde. À l’inverse, la plus sincère discussion peut devenir légère. Plutôt que de laisser le flux de l’information nous frapper, il s’agit alors de nous nourrir des histoires humaines pour construire des valeurs.
Ces valeurs se trouvent souvent dans l’éducation. Mais les débats moraux font régulièrememnt appel à des livres. D’où l’image du miroir. Lorsque nous lisons, les mots forment dès lors le miroitement de notre être. Ils nous questionnent ou alors nous y cherchons des réponses.
Et donc, l’idée de la nouvelle chronique est simple. Elle consiste à mettre en lien une situation quotidienne avec un livre. Vous le verrez au fur et à mesure des chroniques. Si vous revenez nous lire mensuellement alors vous comprendrez la passion qu’éprouve un lecteur face à la littérature.
A.W.